PartenairesNewspaper WordPress Theme
ActuLes actionnaires contraints de céder leurs actions à l'État au début du...

Les actionnaires contraints de céder leurs actions à l’État au début du mois de juin

—————————–Résumé de l’Article————————————————

Le rachat d’EDF par l’État est sur le point d’être entériné, avec l’obligation de vente des 2% d’actions restantes le 8 juin prochain au prix de 12 euros par action. Cette procédure marque la fin d’un processus de renationalisation lancé en juillet 2022 pour un montant de 9,7 milliards d’euros. Cette opération avait été contestée par les petits porteurs, qui réclamaient un meilleur prix pour leurs actions, mais leur recours a été rejeté par la justice début mai. L’Etat, qui détenait déjà 84% d’EDF, cherchait à reprendre la main pour relancer plus rapidement le nucléaire en finançant le renouvellement d’un parc vieillissant et la construction d’au moins six nouveaux réacteurs. Le Fonds commun de placement en actions (FCPE), représentant les salariés et retraités d’EDF ayant investi dans le groupe, a annoncé avoir l’intention d’engager un recours indemnitaire devant le Conseil d’État.

—————————–Article Complet————————————————

Derniers détails avant l’approbation du rachat d’EDF par l’État, prévue pour le 8 juin. Les actionnaires restants seront forcés de vendre leurs parts, mettant fin au processus de renationalisation d’EDF initié il y a près d’un an. Le prix net de tout frais sera de 12 euros par action, portant sur 2,19% du capital et 1,99% des droits de vote de l’entreprise. L’État, qui détenait 84% de l’entreprise, avait annoncé le rachat de l’électricien français pour 9,7 milliards d’euros en juillet 2022. Un recours de petits porteurs contestant le prix avait été rejeté par la justice début mai.

❤️️ Ca peut vous plaire aussi ❤️️ :  Frédéric Sojcher ramène Agnès Jaoui à l'école de Jonathan Zaccaï.

——————————Article à Propos—————————————————-

Les actionnaires d’entreprises françaises sont forcés de vendre leurs parts à l’Etat en début juin. Cette décision a été prise par le gouvernement français en réponse aux effets économiques de la pandémie de COVID-19. La mesure, qui a été annoncée en mai dernier, concerne les entreprises cotées en bourse où l’Etat est déjà présent et qui ont subi une baisse significative de leur valorisation.

Les entreprises concernées sont notamment ADP, Engie, EDF, FDJ et Thales. Les actionnaires majoritaires de ces entreprises, qui détiennent plus de 10% du capital, vont devoir vendre une partie de leurs parts à l’Etat. Cette opération sera facilitée par une société de gestion mise en place par l’Etat, qui permettra aux actionnaires de vendre leurs titres à un prix fixe.

❤️️ Ca peut vous plaire aussi ❤️️ :  Melcor Developments annonce les résultats du troisième trimestre et déclare un dividende trimestriel de 0,15 $ par action

Le gouvernement a justifié cette mesure en affirmant que l’Etat devait renforcer sa présence dans les entreprises stratégiques, afin d’assurer leur pérennité et de protéger les emplois. Le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, a ajouté que cette opération permettrait également à l’Etat de préparer l’avenir et de jouer un rôle plus actif dans la transition écologique et numérique.

Cette décision a toutefois été critiquée par certains acteurs du monde économique, qui ont exprimé leur désaccord à propos de cette ingérence de l’Etat dans les entreprises privées. Certains ont également souligné que cela pourrait dissuader les investisseurs étrangers d’acheter des actions françaises, par crainte d’une telle mesure.

Cette opération ne sera pas sans conséquences sur les actionnaires concernés, qui perdront une partie de leur investissement. Toutefois, elle doit permettre à l’Etat de renforcer sa présence dans des entreprises clés pour l’économie française, et de les protéger des aléas économiques. Elle permettra également à l’Etat de jouer un rôle plus actif dans la transition écologique et numérique, en privilégiant les investissements à long terme.

❤️️ Ca peut vous plaire aussi ❤️️ :  Victoire de Jean-Baptiste Andrea pour son roman "Veiller sur elle" : le prix lui revient.

En conclusion, cette mesure de l’Etat qui oblige les actionnaires à vendre leurs parts en début juin est controversée, mais pourrait être bénéfique à long terme pour l’économie française. Elle doit permettre de protéger les entreprises stratégiques et de favoriser leur développement, dans un contexte économique incertain. Reste à voir si cette intervention de l’Etat sera efficace et si elle ne dissuadera pas les investisseurs étrangers.

—————————–FIN————————————————

Retour à l’accueil Worldnet

Mettre une note à ce post
Abonnez-vous à la newsletter (gratuit)

Rejoindre la newsletter gratuitement

OBTENEZ UN ACCÈS COMPLET EXCLUSIF AU CONTENU PREMIUM

SOUTENIR LE JOURNALISME À BUT NON LUCRATIF

ANALYSE D'EXPERTS ET TENDANCES ÉMERGENTES EN MATIÈRE DE PROTECTION DE L'ENFANCE ET DE JUSTICE JUVÉNILE

WEBINAIRES VIDÉO THÉMATIQUES

Obtenez un accès illimité à notre contenu EXCLUSIF et à nos archives d'histoires d'abonnés.

Contenu exclusif

Article récents

Plus d'articles