—————————–Résumé de l’Article————————————————
Le tribunal de Bobigny a relaxé deux personnes accusées d’avoir fabriqué et vendu plus de 700 faux billets de la finale de la Ligue des Champions 2022 au Stade de France. Les centaines de faux billets ont été vendus à 60 euros l’unité selon le parquet de Bobigny. Le tribunal a considéré qu’il n’était pas prouvé que les prévenus avaient effectivement fabriqué et mis en circulation des centaines de faux billets. Une escroquerie qui n’a pas été prouvée. L’homme a été relaxé et la femme condamnée pour faux. L’UEFA et la Préfecture de police de Paris ont vu leur constitution de partie civile déboutée. À partir de faux billets utilisés le soir du match, les enquêteurs spécialisés sont remontés à une imprimerie des Hauts-de-Seine qui a servi “de manière importante” à la reproduction des titres. Les investigations ont identifié une employée de l’entreprise ainsi qu’un homme qui lui fournissait les éléments pour confectionner des titres trafiqués. Selon le délibéré du tribunal, le duo avait déjà fabriqué des faux billets pour des grands événements, comme des salons. Ce jugement est le seul à être intervenu dans le volet faux billets de cette soirée tumultueuse, qui a terni l’image de la France à l’international.
—————————–Article Complet————————————————
Le tribunal de Bobigny a acquitté deux personnes accusées d’avoir fabriqué et vendu plus de 700 faux billets pour la finale de la Ligue des Champions 2022 au Stade de France. Les prévenus ont été disculpés car il n’a pas été prouvé qu’ils ont fabriqué et mis en circulation des centaines de faux billets. Une seule personne a été condamnée pour un faux billet découvert dans la poubelle de son entreprise. L’UEFA et la Préfecture de police de Paris ont vu leur constitution de partie civile déboutée. Les enquêteurs sont remontés à une imprimerie des Hauts-de-Seine qui a servi à la reproduction des titres. Le duo avait déjà fabriqué des faux billets pour d’autres événements.
——————————Article à Propos—————————————————-
Le tribunal correctionnel de Paris a relaxé deux prévenus soupçonnés d’un trafic de faux billets, faute de preuves suffisantes pour les condamner.
Les deux hommes, âgés de 22 et 26 ans, ont été arrêtés en mai dernier après que la police ait découvert un atelier clandestin de fabrication de faux billets. Les enquêteurs ont saisi des outils de contrefaçon ainsi que des billets de 20 et 50 euros.
Lors de leur procès, les deux prévenus ont nié toute implication dans le trafic de faux billets, affirmant qu’ils avaient été recrutés pour travailler dans l’atelier sans savoir ce qui s’y passait réellement.
Lors de l’audience, les avocats de la défense ont insisté sur le manque de preuves tangibles contre leurs clients, soulignant que les enquêteurs n’avaient trouvé aucun lien direct entre les prévenus et les faux billets saisis.
Le tribunal a finalement conclu que les preuves présentées par l’accusation étaient insuffisantes pour condamner les prévenus, et a prononcé leur relaxe.
Cette affaire de trafic de faux billets rappelle l’importance de la vigilance face à ce genre de délits, qui peuvent causer de graves préjudices économiques à la société. Il est donc important de signaler toute suspicion de contrefaçon aux autorités compétentes.
—————————–FIN————————————————
Retour à l’accueil Worldnet
