—————————–Résumé de l’Article————————————————
Le skippeur du Vendée Globe, Sébastien Destremau et son équipage ont été attaqués par un groupe de huit orques pendant 55 minutes, alors qu’ils naviguaient au large des côtes espagnoles. Le bateau a été violemment secoué sous les coups des cétacés, mais il n’y a pas eu de blessé à bord. Destremau assure qu’il n’y avait aucune agressivité envers l’homme mais seulement envers le bateau. Le Lancelot s’est arrêté à Cadix pour effectuer quelques vérifications avant de reprendre la route vers la Bretagne.
—————————–Article Complet————————————————
Le skipper français Sébastien Destremau a été attaqué pendant 55 minutes par un groupe de huit orques au large des côtes espagnoles alors qu’il naviguait sur le Lancelot. Il raconte que le bateau a été secoué comme une coquille de noix, mais qu’il n’y a pas eu d’agressivité envers les humains, seulement envers le bateau. Heureusement, personne n’a été blessé mais le bateau doit s’arrêter à Cadix pour effectuer des vérifications avant de reprendre sa route vers la Bretagne.
——————————Article à Propos—————————————————-
Le 19 décembre dernier, le navigateur Sébastien Destremau et son équipage ont vécu un moment difficile lors de leur participation à la course transatlantique « On n’en menait pas large ». En effet, ils ont été attaqués par des orques durant leur traversée.
Les orques, également appelées baleines tueuses, sont des prédateurs redoutables qui peuvent mesurer jusqu’à 9 mètres de long et peser plus de 5 tonnes. Cependant, il est très rare qu’elles s’en prennent à des bateaux, et encore plus rare qu’elles attaquent des personnes.
Pourtant, c’est ce qui est arrivé à l’équipage de Sébastien Destremau. Alors qu’ils naviguaient à environ 1 200 kilomètres des côtes du Portugal, les orques ont commencé à s’approcher du bateau. Puis, elles ont commencé à donner des coups de tête sur la coque, endommageant ainsi le gouvernail de l’embarcation.
C’est une situation très délicate pour les marins, d’autant plus que les orques peuvent être très agressives lorsqu’elles se sentent menacées. Heureusement, l’équipage de Sébastien Destremau a su garder son calme et a réussi à réparer le gouvernail, avant de repartir en mer.
Cet épisode est survenu lors de la deuxième étape de la course « On n’en menait pas large », qui relie Saint-Malo à Pointe-à-Pitre en Guadeloupe. Il s’agit d’une course en solitaire, où les navigateurs doivent faire preuve d’une grande résilience et d’une grande détermination pour affronter les éléments.
Malgré cet incident, Sébastien Destremau et son équipage ont réussi à continuer leur course, avec un moral d’acier et la volonté de terminer le parcours. Cela montre bien la force de caractère et la détermination des navigateurs professionnels, qui sont souvent confrontés à des situations extrêmes lors de leurs traversées en mer.
En fin de compte, la participation de Sébastien Destremau à la course « On n’en menait pas large » a été un véritable exploit, marqué par des moments de bravoure et de difficulté, comme cette attaque d’orques. Malgré tout, il a su garder son sang-froid et a réussi à terminer la course, prouvant ainsi sa ténacité et son talent de marin.
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