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FinanceGagner de l'argentLe cas contre l'ancien président manque de preuves solides

Le cas contre l’ancien président manque de preuves solides

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L’ancien président des États-Unis, Donald Trump, a été formellement inculpé de 34 chefs d’accusation de falsification de documents financiers par le procureur de Manhattan, Alvin Bragg. Trump est accusé d’avoir voulu dissimuler des affaires embarrassantes, notamment une liaison supposée avec l’actrice porno Stormy Daniels, aux électeurs lors de l’élection présidentielle de 2016. Les experts jugent que le procureur a peut-être forcé sa main en alourdissant les charges de délits passibles de prison plutôt que de simples infractions passibles d’une amende.

Les charges portent sur les 11 chèques que Trump avait fait à son ex-avocat Michael Cohen pour rembourser les 130 000 dollars qu’il avait versés à Stormy Daniels pour acheter son silence. Les autres charges portent sur les comptes de la Trump Organization, avec des remboursements déclarés comme des frais juridiques.

Le procureur a également accusé Trump d’avoir violé les lois sur le financement électoral de l’État de New York en dissimulant des informations dommageables. Les avocats de Trump ont jusqu’au 8 août pour déposer leurs motions, et les procureurs auront jusqu’au 19 septembre pour y répondre. Le juge Merchan tranchera le 4 décembre, selon le calendrier provisoire dévoilé mardi.

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Si Trump était condamné à une peine de prison et remportait la présidentielle de 2024, le département de la Justice n’aurait pas l’autorité de demander sa libération et il appartiendrait au Congrès de le destituer via la procédure d’impeachment. Les experts estiment que cette inculpation est la moins dangereuse pour Trump, qui est également menacé par des enquêtes de la justice fédérale pour son rôle dans l’assaut du Capitole et sa gestion des archives de la Maison-Blanche, ainsi que par une décision de la justice de Géorgie sur des pressions exercées sur les responsables électoraux.

—————————–Article de Base————————————————

L’ancien président américain Donald Trump est formellement inculpé de 34 charges de falsification de documents financiers, notamment pour avoir voulu dissimuler des affaires embarrassantes comme la liaison supposée avec l’ex-actrice porno Stormy Daniels pendant l’élection présidentielle de 2016. Cependant, certains experts considèrent que le procureur a peut-être forcé la main en retenant des charges habituellement considérées comme de simples infractions et ayant potentiellement des conséquences en termes de prison. Les avocats de Donald Trump ont jusqu’au 8 août pour déposer leurs motions et les procureurs jusqu’au 19 septembre pour y répondre. Le juge tranchera le 4 décembre prochain et un potentiel procès pourrait commencer à partir de janvier 2024. Si Donald Trump était condamné à une peine de prison et remportait la présidentielle de 2024, le Congrès pourrait avoir à le destituer via la procédure d’impeachment.

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——————————Article à Propos—————————————————-

Le dossier de l’accusation contre l’ancien président est loin d’être blindé, tel est le constat qui s’impose après l’examen des éléments présentés jusqu’à présent contre l’ex-chef de l’Etat.

Il faut d’abord souligner que l’enquête préliminaire menée par le parquet n’a pas permis de trouver des charges suffisantes pour incriminer l’ancien président. Cette première étape de l’enquête avait pourtant mobilisé les moyens de la justice pendant plusieurs années, sans aboutir à un résultat probant.

Ensuite, le dossier présenté devant le juge d’instruction est basé essentiellement sur le témoignage de deux proches de Nicolas Sarkozy, à savoir l’ancien conseiller Patrick Buisson et l’ex-secrétaire d’Etat Eric Woerth. Ces deux personnes ont évoqué des pratiques douteuses de l’ancien président, notamment dans le financement de sa campagne présidentielle de 2007.

Or, il convient de rappeler que ces témoignages doivent être étayés par des preuves matérielles et des éléments vérifiables pour être considérés comme valables devant la justice. Dans le cas présent, les preuves manquent encore, voire font défaut.

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En outre, il faut prendre en compte les déclarations de l’ancien président qui, depuis le début de l’affaire, nie les faits qui lui sont reprochés. Il s’est même proposé de se soumettre à un détecteur de mensonges pour prouver son innocence.

Enfin, il est important de souligner que le traitement judiciaire de cette affaire suscite des interrogations quant à la crédibilité de la procédure. En effet, certains estiment que l’acharnement contre Nicolas Sarkozy serait motivé en partie par des considérations politiques et médiatiques, plutôt que par la recherche de la vérité.

En conclusion, force est de constater que le dossier de l’accusation contre l’ancien président est loin d’être blindé. Les preuves présentées jusqu’à présent ne sont pas décisives et la crédibilité de la procédure est mise en doute. Dans ces conditions, il convient d’attendre la suite des événements pour savoir si Nicolas Sarkozy sera effectivement inculpé et jugé.

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