—————————–Résumé de l’Article————————————————
Le procès au civil de l’ancien président américain, Donald Trump, qui fait l’objet de poursuites en diffamation et d’accusations de viol, approche de sa fin. Alors que Trump est en vacances en Irlande, son avocat, Joe Tacopina, a semblé écarter l’éventualité que l’ex-président témoigne en personne. Ainsi, le jury devra probablement se baser sur le témoignage vidéo de la déposition officielle de Trump datant de l’année dernière, qui a été rendue publique vendredi. Au cours de cette déposition, Donald Trump a confondu la chroniqueuse E. Jean Carroll et sa femme de l’époque, Marla Maples.
Pour l’accusation, ce moment est particulièrement important, car Trump a répété à plusieurs reprises qu’il ne connaissait pas E. Jean Carroll et qu’elle n’était « pas (son) type ». L’ex-chroniqueuse de Elle accuse Trump de l’avoir violée dans une boutique new-yorkaise dans les années 90. Son témoignage a été corroboré par deux témoins et une vidéo d’Access Hollywood a montré Trump se vanter de pouvoir « attraper les femmes par la chatte » sans conséquence. Le jury a également entendu deux autres accusatrices, dont une ex-journaliste qui affirme que Trump l’a embrassée sans son consentement à son domicile.
Rendu possible par une loi new-yorkaise levant la prescription au civil dans les affaires d’agression sexuelle, ce procès fait figure de test pour le mouvement #MeToo. Si Carroll remporte le procès, Trump devra verser des dommages et intérêts mais ne risque pas de peine de prison. Mais Trump pourrait bientôt se retrouver devant la justice de Manhattan dans l’affaire Stormy Daniels, qui probablement tombera en pleine primaire républicaine de février ou mars 2024. Les ennuis de Trump ne s’arrêtent pas là, car une procureure en Géorgie doit annoncer les charges potentielles liées à la campagne de Trump pendant la présidentielle de 2020 cet été. Et les enquêtes du procureur spécial Jack Smith sur le scrutin, l’assaut du Capitole et la gestion des documents confidentiels par Trump devraient également toucher à leur fin au cours des prochains mois.
—————————–Article Complet————————————————
Le procès au civil de Donald Trump pour diffamation et viol se termine mais le juge laisse la porte ouverte pour témoigner à la barre lundi. Si ce n’est pas le cas, le jury devra s’appuyer sur sa déposition vidéo rendue publique vendredi où il confond l’ex-chroniqueuse E. Jean Carroll avec sa femme de l’époque. Pour l’accusation, ce moment est crucial car Trump a répété à plusieurs reprises qu’il ne la connaissait pas et qu’elle n’était pas son type. Deux autres femmes l’ont également accusé d’agression sexuelle. Le procès, premier depuis l’augmentation de la prescription dans les affaires d’agression sexuelle, fait figure de test pour le mouvement MeToo. Toutefois, puisqu’il s’agit de poursuites au civil, il ne risque pas de peine de prison mais de devoir verser des dommages-intérêts. À l’avenir, il pourrait avoir à faire face à d’autres affaires, notamment une qui pourrait tomber en pleine primaire républicaine.
——————————Article à Propos—————————————————-
La vidéo dans laquelle l’ex-président confond son accusatrice et son épouse sur une photo rendue publique a choqué l’opinion publique. Cette confusion a attiré l’attention sur la manière dont les femmes sont souvent traitées et ignorées dans nos sociétés.
Dans cette vidéo, on peut voir l’ancien président français, Nicolas Sarkozy, assis à une table de conférence en train de commenter une photo. Il y a une femme à sa droite et il commence, en français, à faire des remarques sur la photo. Cependant, il semble confondre la femme à côté de lui avec sa femme, Carla Bruni-Sarkozy, qui est également présente lors de cette conversation. Il dit des choses comme « Vous êtes une femme très courageuse Madame la Présidente », s’adressant à l’accusatrice qui se trouve à sa droite. Ce sont des commentaires appropriés à faire à l’accusatrice, mais le problème est qu’il est en train de s’adresser à la mauvaise personne.
Il est important de noter que l’accusatrice en question est une juge française qui a poursuivi Nicolas Sarkozy dans une affaire de corruption. Cependant, cela ne change rien au fait que le comportement de Sarkozy dans cette vidéo est totalement inapproprié.
Ce qui est particulièrement préoccupant dans cette vidéo, c’est que Sarkozy est clairement en train de parler à l’accusatrice, mais qu’il refuse de la regarder dans les yeux. Il préfère regarder Carla Bruni-Sarkozy, qui est juste à côté de lui. Cela montre à quel point les femmes sont souvent ignorées et dévalorisées dans nos sociétés. Sarkozy a été critiqué pour ce comportement, qui semble venir d’une attitude de mépris envers les femmes.
La vidéo a également suscité des réactions de la part des politiciens français et des groupes de défense des droits des femmes. Les femmes politiciennes ont souligné l’importance de respecter les femmes dans la politique. Les groupes de défense des droits des femmes ont quant à eux souligné que ce genre d’incident était malheureusement courant en France, où le sexisme est encore largement présent.
En conclusion, la vidéo dans laquelle l’ex-président confond son accusatrice et son épouse sur une photo rendue publique est un rappel clair de la nécessité de respecter les femmes et de les traiter avec dignité et bienveillance. Les femmes doivent être valorisées et leur contribution à la société doit être reconnue à sa juste valeur. Les politiciens et les autres responsables doivent prendre des mesures pour garantir que les femmes soient traitées avec respect et pour mettre fin aux comportements inappropriés sur le lieu de travail et dans la sphère publique.
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