—————————–Résumé de l’Article————————————————
L’ambassadrice américaine à l’ONU, Linda Thomas-Greenfield, se rendra au Brésil dans l’espoir de renouer le dialogue avec le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, suite à ses commentaires controversés sur le conflit en Ukraine. Elle aura des entretiens avec des responsables gouvernementaux brésiliens à Brasilia, où elle devrait se concentrer sur la coopération entre les deux pays plutôt que sur les commentaires de Lula. Cependant, un responsable anonyme a déclaré qu’elle aurait également l’occasion de “faire le point” sur cette question. Les États-Unis estiment que le Brésil et d’autres pays peuvent jouer un rôle positif pour mettre fin au conflit en Ukraine. Les commentaires de Lula ont suscité une vive controverse lorsqu’il a affirmé à Pékin que les États-Unis devaient cesser “d’encourager la guerre” en Ukraine et que l’Union européenne devait “commencer à parler de paix”.
—————————–Article Complet————————————————
Une émissaire américaine de haut rang, Linda Thomas-Greenfield, est envoyée au Brésil dans l’espoir de renouer le dialogue avec le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva après ses propos controversés sur le conflit en Ukraine. Elle se concentrera sur la coopération entre les deux pays, mais aura également l’occasion de faire le point sur la position du Brésil concernant le conflit en Ukraine. Un responsable a déclaré que plusieurs pays, dont le Brésil, pourraient jouer un rôle positif pour mettre fin au conflit. En avril, Lula avait affirmé que les États-Unis devaient cesser d’encourager la guerre en Ukraine et que l’Union européenne devait commencer à parler de paix.
——————————Article à Propos—————————————————-
Après les propos controversés de Lula sur l’Ukraine, Washington envoie une émissaire au Brésil.
L’ex-président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, a récemment suscité une vive réaction de la part des États-Unis en exprimant ses opinions sur la situation en Ukraine. Le Brésil, qui est pourtant un partenaire clé des États-Unis en Amérique latine, a pris une position clairement en faveur de la Russie dans le conflit en Ukraine.
Le gouvernement américain n’a pas tardé à réagir en envoyant une émissaire au Brésil afin de clarifier les positions des deux pays. Wendy Sherman, la sous-secrétaire d’État américaine aux affaires politiques, a rencontré les dirigeants brésiliens pour discuter de la position du Brésil sur l’Ukraine et de l’importance de maintenir des relations cordiales entre les deux pays.
Le choix de Wendy Sherman comme émissaire envoie un message clair quant à l’importance de la relation entre les États-Unis et le Brésil. En tant que l’une des responsables de la politique étrangère des États-Unis, la visite de Sherman montre que les États-Unis prennent cette question très au sérieux.
Le Brésil a longtemps été un partenaire clé des États-Unis en Amérique latine. Les deux pays ont des relations commerciales étroites, avec un échange commercial d’environ 100 milliards de dollars en 2019. Les États-Unis cherchent donc à maintenir une relation positive avec le Brésil.
La visite de Sherman a également été l’occasion de discuter de la coopération entre les deux pays dans d’autres domaines, comme le changement climatique et la protection des droits de l’homme. Le Brésil a été critiqué pour sa gestion de la forêt amazonienne, ce qui a suscité des inquiétudes quant à l’impact sur le climat mondial. Les États-Unis cherchent donc à travailler avec le Brésil pour préserver la forêt amazonienne tout en soutenant le développement économique du pays.
En fin de compte, la visite de Sherman au Brésil a permis de clarifier la position des États-Unis sur l’Ukraine et de maintenir une relation positive entre les deux pays. Il est clair que les échanges commerciaux, la coopération environnementale et la protection des droits de l’homme restent des priorités pour les États-Unis dans leur relation bilatérale avec le Brésil.
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