Plus de 52% des conducteurs de VE interrogés n’ont pas accès à un point de charge sur leur lieu de travail, révèle aujourd’hui une enquête de YouGov.
Interrogés plus avant, 82% de ces conducteurs ont exprimé le souhait de recharger leur VE sur leur lieu de travail.
Selon l’enquête, seulement 25 % des lieux de travail des conducteurs de VE ont un point de charge installé. Par conséquent, seulement 10 % des conducteurs de VE interrogés ont déclaré recharger leur VE sur leur lieu de travail.
Malgré l’existence de 530 000 véhicules électriques à batterie au Royaume-Unile décalage persistant entre l’accessibilité et la disponibilité des points de charge des VE continue de décourager un grand nombre de propriétaires potentiels.
« Il y a un écart énorme entre ce que veulent les conducteurs de VE et ce qui est actuellement disponible au Royaume-Uni. Alors que les lieux de travail tardent encore à installer des points de charge, leurs employés se chargent sur des chargeurs publics coûteux ou attendent de rentrer chez eux pour se brancher aux heures de pointe. Ces deux situations deviendront de plus en plus intenables à mesure que les prix de l’énergie et la demande sur le réseau augmentent », a déclaré Alok Dubey, directeur national pour le Royaume-Uni chez Monta, qui a commandé l’enquête.
« Les lieux de travail sont une solution de charge cruciale pour aider à construire une infrastructure de charge stable et accessible au Royaume-Uni, et il y a d’énormes avantages pour les employeurs qui installent un point de charge », a déclaré Dubey.
« Il existe plusieurs façons de tirer des revenus d’un point de charge dans un environnement de travail. Par exemple, les propriétaires d’entreprises peuvent partager leurs points de charge avec le public pendant les week-ends ou en dehors des heures de travail, gagnant ainsi un petit bénéfice sur chaque charge tout en contribuant à l’électrification continue de l’infrastructure du Royaume-Uni. »
« Le personnel et le grand public montrent un appétit énorme pour les chargeurs sur le lieu de travail en raison de l’absence d’options viables ailleurs – en particulier ceux des centres-villes, sans accès à des allées privées ou à des chargeurs publics à proximité. Un conducteur de VE sur cinq travaille principalement à domicile, mais combien d’entre eux préféreraient travailler au bureau mais sont rebutés par l’absence de chargeurs sur leur lieu de travail ? Si les employeurs veulent vraiment que leur personnel revienne, alors le lieu de travail doit être considéré comme une extension du bureau à domicile où les commodités sont fournies pour rendre les trajets plus attrayants », conclut M. Dubey.
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