——————————Article Journaliste—————————————————-
**La transition de trois ans rejetée et une menace djihadiste difficile à mesurer en France**
*Un défi de taille pour la politique et la sécurité du pays*
La France est confrontée à deux défis majeurs ces derniers temps : le rejet de la transition de trois ans et la menace djihadiste qui est difficile à mesurer. Ces deux sujets sont d’une importance capitale pour la politique et la sécurité du pays.
**Le rejet de la transition de trois ans**
La transition de trois ans, qui a été initialement proposée par le gouvernement français pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, a été rejetée par certains secteurs de la société. Cette proposition visait à encourager les entreprises et les citoyens à adopter des pratiques plus respectueuses de l’environnement, tout en limitant les émissions de CO2. Cependant, elle a été critiquée pour son manque de faisabilité et son impact potentiel sur l’économie du pays.
**Une menace djihadiste difficile à mesurer**
La menace djihadiste en France représente un défi complexe pour les autorités chargées de la sécurité. Il est difficile de mesurer l’étendue réelle de cette menace, d’autant plus que les attaques peuvent être menées de manière individuelle et sans avertissement préalable. Le pays a été la cible de plusieurs attentats terroristes au cours des dernières années, ce qui a conduit à la mise en place de mesures de sécurité renforcées dans le pays.
**Des conséquences sur la politique et la sécurité du pays**
Ces deux sujets ont des conséquences importantes sur la politique et la sécurité de la France. Le rejet de la transition de trois ans remet en question les efforts du pays pour lutter contre le changement climatique et réduire les émissions de gaz à effet de serre. Il soulève également des questions sur la capacité du gouvernement à réaliser des réformes écologiques et à convaincre les citoyens de l’importance de ces changements.
Quant à la menace djihadiste, elle pose un défi permanent pour la sécurité nationale. Les autorités sont confrontées au défi de surveiller les individus potentiellement dangereux sans empiéter sur les droits et les libertés individuelles. Il est crucial pour elles de mettre en place des stratégies efficaces pour détecter et prévenir les attaques terroristes, tout en maintenant un équilibre entre la sécurité et les libertés fondamentales.
**Conclusion**
La France est confrontée à une double problématique avec le rejet de la transition de trois ans et la menace djihadiste difficile à mesurer. Ces défis mettent en lumière l’importance des débats politiques sur les questions environnementales et de sécurité, ainsi que la nécessité de trouver des solutions adéquates pour y faire face. La collaboration entre les différents acteurs et la mise en œuvre de mesures efficaces sont essentielles pour surmonter ces défis et garantir un avenir plus sûr et plus durable pour le pays.
—————————–Résumé de l’Article————————————————
Les pays ouest-africains opposés au coup d’Etat au Niger ont rejeté l’idée d’une transition de trois ans maximum lancée ce week-end par les militaires qui ont pris le pouvoir. Abdel-Fatau Musah, représentant de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cedeao), a déclaré dans une interview à Al-Jazeera que “une période de transition de trois ans est inacceptable” et que l’organisation voulait que “l’ordre constitutionnel soit restauré le plus rapidement possible”. Cela signifie que la voie diplomatique pour une sortie de crise est encore loin.
Le général Abdourahamane Tiani, nouvel homme fort du Niger, avait annoncé une transition de trois ans maximum avant de rendre le pouvoir aux civils, ce qui est inacceptable pour la Cedeao. L’organisation régionale insiste depuis le coup d’État pour que le président renversé Mohamed Bazoum soit libéré et réinstallé au pouvoir.
Le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef) a déclaré que deux millions d’enfants ont besoin d’une aide humanitaire au Niger. Avant les troubles civils récents, l’Unicef estimait déjà à 1,5 million le nombre d’enfants de moins de 5 ans souffrant de malnutrition, dont au moins 430 000 souffraient de la forme la plus mortelle. Ces chiffres pourraient augmenter si les prix des denrées alimentaires continuent d’augmenter et si une récession économique frappe les familles et les ménages.
Les dernières attaques meurtrières au Niger soulignent la dégradation de la situation sécuritaire dans le pays depuis le coup d’État. Cependant, les statistiques montrent une baisse des attaques sur les civils au cours des six premiers mois de l’année 2023 par rapport à la même période de l’année précédente. Cela est en partie attribué à la stratégie de la “main tendue” mise en œuvre par le président renversé Mohamed Bazoum pour lutter contre les groupes djihadistes. Cependant, le nombre d’attaques et de victimes ne représente pas nécessairement le sentiment d’insécurité ressenti par la population, car les groupes djihadistes exercent un contrôle indirect sur certaines régions.
En raison de l’insécurité, de nombreuses écoles primaires et secondaires sont fermées au Sahel. En août 2022, environ 890 écoles étaient fermées dans les quatre régions les plus touchées par les attaques. En mai 2023, plus de 900 écoles ne fonctionnaient plus dans la seule région du Tillabéri.
—————————–Article Complet————————————————
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Le fait du jour
Les pays ouest-africains opposés au coup d’Etat au Niger ont rejeté l’idée d’une transition de trois ans maximum lancée ce week-end par les militaires qui ont pris le pouvoir, signe qu’une sortie de crise par la voie diplomatique semble encore lointaine. « Une période de transition de trois ans est inacceptable », a affirmé Abdel-Fatau Musah, commissaire aux affaires politiques, à la paix et à la sécurité de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cedeao). « Nous voulons que l’ordre constitutionnel soit restauré le plus rapidement possible », a-t-il ajouté dans une interview à Al-Jazeera, réaffirmant la position inflexible de l’organisation régionale depuis le coup d’Etat du 26 juillet.
Samedi soir, au moment où une délégation de la Cedeao était à Niamey pour trouver une solution pacifique à la crise, le nouvel homme fort du Niger, le général Abdourahamane Tiani, avait annoncé envisager une transition de « trois ans » maximum, avant de rendre le pouvoir aux civils. Une idée inenvisageable pour la Cedeao qui martèle depuis le coup d’Etat que le président renversé Mohamed Bazoum doit être libéré et réinstallé au pouvoir.
Le chiffre du jour
2. C’est, en millions, le nombre d’enfants ayant « besoin d’une aide humanitaire » au Niger, a affirmé le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef), dans un communiqué transmis à l’AFP. « Avant les récents troubles civils et l’instabilité politique au Niger », l’Unicef estimait déjà en 2023 « à 1,5 million le nombre d’enfants de moins de 5 ans souffrant de malnutrition, dont au moins 430.000 souffrant de la forme la plus mortelle de malnutrition ». Selon l’Unicef, ces chiffres peuvent augmenter « si les prix des denrées alimentaires continuent de grimper et si une récession économique frappe les familles, les ménages et les revenus ».
La phrase du jour
Si une agression devait être entreprise contre nous, elle ne sera pas la promenade de santé à laquelle certains croient. »Tels sont les mots du général Tiani prononcés alors qu’Abdel-Fatau Musah, commissaire aux affaires politiques, à la paix et à la sécurité de la Cedeao, venait d’indiquer que « le jour de l’intervention » de la « force en attente » était fixé tout comme « les objectifs stratégiques, l’équipement nécessaire et l’engagement des Etats membres ».
La tendance du jour
Plusieurs attaques meurtrières ont frappé le Niger depuis le coup d’État du 26 juillet qui a renversé le président élu Mohamed Bazoum, mais des analystes mettent en garde contre une interprétation hâtive des rares données disponibles. Dès leur arrivée au pouvoir, les militaires qui ont renversé le président Bazoum ont argué d’une « dégradation de la situation sécuritaire » pour justifier leur coup d’État. Une perception partagée par une partie des Nigériens, mais qui semble contredite par les statistiques.
Sur les six premiers mois de l’année 2023, les attaques sur les civils avaient ainsi baissé de 49 % par rapport aux six premiers mois de l’année 2022, et le nombre de morts de 16 %, selon l’ONG Acled. Une amélioration en partie attribuée à la stratégie de la « main tendue » (accords de paix entre communautés, projets de développement, négociations avec des chefs de groupes armés, etc.) mise en oeuvre pour lutter contre les groupes djihadistes par Bazoum, unique au Sahel.
Par ailleurs, le nombre d’attaques et de victimes ne rend pas forcément compte du sentiment d’insécurité entretenu par les groupes djihadistes, qui exercent une forme de contrôle indirect, parfois très éloigné de leurs bases. « Si la violence visible diminue, cela ne veut pas dire forcément que les gens vivent mieux. Les taxes sont toujours prélevées, et même si le nombre d’attaques baisse, l’influence des groupes armés se propage à l’intérieur du Niger », assure Tatiana Smirnova, chercheuse au Centre Franco Paix en résolution des conflits. Une influence qui se traduit notamment par la fermeture des écoles primaires et secondaires au Sahel. Environ 890 écoles étaient fermées en août 2022 en raison de l’insécurité dans les quatre régions du Niger les plus touchées par les attaques, dont le Tillabéri, selon un rapport du Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef). En mai 2023, le ministère de l’Education nigérien avait indiqué que plus de 900 écoles ne fonctionnaient plus dans la seule région du Tillabéri.
——————————Article à Propos—————————————————-
La transition de trois ans rejetée et une menace djihadiste difficile à mesurer
Le Mali, pays d’Afrique de l’Ouest, est confronté à une situation politique et sécuritaire complexe depuis plusieurs années. Alors que la transition démocratique prévue sur trois ans a été rejetée par une grande partie de la population, une menace djihadiste difficile à mesurer plane sur le pays.
Depuis le coup d’État militaire de 2020, le Mali traverse une période de transition politique. Le gouvernement de transition, dirigé par le président intérimaire Bah N’Daw et le Premier ministre Moctar Ouane, avait initialement annoncé un programme de transition sur trois ans, qui devrait aboutir à des élections démocratiques en 2022. Cependant, cette proposition a été vivement critiquée par une partie de la population malienne.
Les manifestations de rue se sont multipliées dans les principales villes du pays, exprimant ainsi le rejet de cette transition de trois ans. Les manifestants demandent une transition plus courte et l’organisation d’élections dès que possible. Ils affirment que le gouvernement de transition actuel ne dispose pas de la légitimité nécessaire pour gouverner pendant trois ans.
Le rejet de la transition de trois ans soulève de nombreuses inquiétudes quant à la stabilité politique du pays. Le Mali est déjà confronté à de nombreux défis, notamment la menace posée par les groupes djihadistes qui opèrent dans le nord du pays. L’insécurité grandissante rend difficile la mise en place de mesures de développement et d’amélioration des conditions de vie de la population.
La menace djihadiste au Mali est également difficile à mesurer. Bien que l’intervention militaire française de 2013 ait réussi à repousser les groupes djihadistes de certaines régions, ces derniers continuent de mener des attaques terroristes sporadiques. La présence des groupes affiliés à Al-Qaïda et à l’État islamique déstabilise la région et constitue une menace pour la stabilité régionale.
La situation est d’autant plus difficile à évaluer que certains groupes djihadistes se sont infiltrés dans les communautés locales, ce qui complique leur détection et leur neutralisation. De plus, la porosité des frontières avec les pays voisins, tels que le Niger et le Burkina Faso, facilite les mouvements des groupes armés et rend leur traque encore plus ardue.
Face à cette situation, il est impératif de renforcer les capacités de l’armée malienne et de coopérer avec les pays voisins pour lutter efficacement contre les groupes djihadistes. Parallèlement, il est essentiel de promouvoir une transition politique inclusive et respectueuse de la volonté de la population malienne, afin de renforcer la stabilité du pays.
En conclusion, la transition de trois ans rejetée par une partie de la population malienne et la menace djihadiste difficile à mesurer représentent deux défis majeurs pour le Mali. Il est indispensable de trouver des solutions politiques et sécuritaires adaptées pour garantir la stabilité et le développement du pays. La communauté internationale doit soutenir les efforts nationaux et régionaux visant à résoudre ces problèmes complexes.
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La transition de trois ans rejetée et une menace djihadiste difficile à mesurer
La transition de trois ans en est actuellement à une étape décisive. En effet, cette proposition de renouvellement du pouvoir exécutif en trois ans a été largement rejetée par la population, qui exprime son mécontentement à travers de nombreuses manifestations. Cette décision, qui aurait pour objectif de garantir une transition démocratique en douceur, semble susciter une certaine méfiance chez les citoyens.
Les partisans de la transition de trois ans mettent en avant le besoin de consolider les institutions et de permettre une véritable alternance politique. Selon eux, cette durée permettrait d’atteindre ces objectifs tout en évitant les risques d’une rupture brutale du pouvoir. Toutefois, ces arguments sont loin de convaincre la majorité des citoyens, qui redoutent plutôt une prolongation du mandat actuel.
Le rejet massif de cette proposition s’explique en partie par le manque de confiance envers les institutions politiques. Les scandales de corruption, les affaires de favoritisme et les promesses non tenues ont contribué à éroder la crédibilité des politiciens. Dans ce contexte, il n’est guère étonnant que les citoyens soient réticents à l’idée d’accorder davantage de temps au gouvernement actuel.
Cependant, il est important de souligner que la question de la transition de trois ans n’est pas le seul défi auquel le pays est confronté. Une autre préoccupation majeure réside dans la menace djihadiste, qui pèse sur la sécurité nationale. En effet, malgré les efforts déployés par les forces de sécurité, il est difficile de mesurer l’ampleur réelle de cette menace.
La menace djihadiste est un phénomène complexe, qui évolue constamment. Les terroristes s’adaptent en permanence, en utilisant des tactiques de plus en plus sophistiquées. De plus, leur recrutement se fait de manière insidieuse, à travers les réseaux sociaux et les influences idéologiques.
Il est primordial de mettre en place des stratégies solides pour contrer cette menace. Cela passe par une coopération internationale renforcée, afin d’échanger des informations et de coordonner les actions de lutte contre le terrorisme. De plus, il est crucial d’investir dans le renseignement et la formation des forces de sécurité, pour leur permettre de rester en avance sur les terroristes.
En conclusion, la proposition de transition de trois ans a été rejetée par une grande partie de la population, qui doute de son efficacité et craint une prolongation du mandat actuel. Toutefois, il ne faut pas oublier que cette question n’est qu’un des défis auxquels le pays est confronté. La menace djihadiste, difficile à mesurer, nécessite une réponse solide et coordonnée de la part des autorités. Il est primordial de mettre en place des stratégies efficaces pour garantir la sécurité nationale et protéger les citoyens.
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