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La raison de 30 milliards de dollars pour Wall Street de sauver la First Republic dès que possible.

Timothy A. Clary/AFP via Getty Images

  • Première République est sur le fil du rasoir, avec l’action en baisse de 41% mercredi. Elle est maintenant en baisse de 95% depuis le début de l’année.

  • La banque cherche à vendre des actifs et à lever des capitaux frais pour se maintenir.

  • Les rivaux de First Republic finiront par payer pour ses difficultés, qu’elle survive ou soit reprise par la FDIC.

Première République se précipite pour conclure un accord de sauvetage.

La banque est de nouveau malmenée sur le marché boursier, avec des actions en baisse de 41% mercredi, à la suite de rapports selon lesquels elle se prépare à vendre des actions dans le cadre d’un plan de sauvetage.

Pour récapituler :

C’est en partie pour cette raison que l’action est si fortement en baisse, la banque étant actuellement évaluée à un peu plus de 1 milliard de dollars. Les investisseurs prévoient essentiellement que la banque est proche de la faillite une fois que ces pertes seront constatées.

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Première République essaie maintenant de trouver un moyen de transférer ces actifs à d’autres banques sans subir une énorme perte, comme l’ont rapporté Gillian Tan and Matthew Monks de Bloomberg. Elle pourrait chercher à vendre les prêts pour plus que leur valeur, en incluant un instrument de type capital-actions comme des bons de souscription ou des actions privilégiées pour donner aux acheteurs plus de potentiel de hausse.

Selon Hugh Son de CNBC, l’argument est essentiellement le suivant : si Première République est saisie par la FDIC, ces mêmes banques devront payer une facture de 30 milliards de dollars. C’est parce que la FDIC prélève une taxe sur les banques saines pour aider à payer la facture de celles qui s’effondrent.

Il est donc préférable pour ces banques de conclure maintenant un accord de sauvetage, et potentiellement de subir une petite perte, que de laisser Première République échouer et de devoir payer encore plus à la FDIC. Ces entreprises sont déjà responsables de la faillite de SVB et de Signature Bank auprès de la FDIC.

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Liz Hoffman chez Semafor constate que le capital-investissement pourrait également intervenir, en reprenant une partie des actifs problématiques de Première République, les banques prenant en charge le reste. Elle estime que cela pourrait coûter à des banques comme JPMorgan et Bank of America 500 millions de dollars chacune, si ces dernières prenaient en charge les actifs sur les mêmes bases qu’elles ont pris en charge $30 milliards de dépôts en mars. Première République chercherait ensuite à vendre des actions pour reconstituer son capital.

Ce qui est clair, c’est que des banques comme JPMorgan et Bank of America vont finir par payer pour les difficultés de Première République. La question est simplement de savoir combien et comment.

Lire l’article original sur Business Insider

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