—————————–Résumé de l’Article————————————————
Malgré l’approbation de la Commission européenne, Londres a réaffirmé son refus de l’acquisition de l’éditeur de jeux vidéo Activision Blizzard par Microsoft pour 69 milliards de dollars. L’autorité de la concurrence britannique avait déjà mis son veto à cette fusion en avril. La Commission européenne avait conditionné son feu vert au respect de mesures pour garantir la concurrence sur le marché des jeux dématérialisés, mais la CMA estime que ces mesures remplaceraient un marché libre et concurrentiel par un marché soumis à une réglementation permanente. Les autorités britanniques, américaines et européennes de la concurrence sont unanimes à dire que cette fusion nuirait à la concurrence dans le marché des jeux dématérialisés. Outre-Atlantique, l’autorité américaine de la concurrence a également lancé des poursuites pour bloquer l’opération. Si la fusion était menée à son terme, elle donnerait naissance au troisième acteur de la filière en termes de chiffre d’affaires, derrière Tencent et Sony.
—————————–Article Complet————————————————
Malgré l’approbation de la Commission européenne, la CMA, l’autorité britannique de la concurrence, a réaffirmé son refus à l’acquisition par Microsoft de l’éditeur de jeux Activision Blizzard, craignant une perte de concurrence avec les mesures proposées par Microsoft pour garantir la concurrence. Le refus de la CMA est soutenu par les autorités américaines et européennes de la concurrence. La fusion envisagée entre Microsoft et Activision Blizzard donnerait naissance au troisième acteur de la filière en termes de chiffre d’affaires, derrière Tencent et Sony.
——————————Article à Propos—————————————————-
Le monde du jeu vidéo est en effervescence avec l’annonce du feu vert donné par Bruxelles pour le rachat d’Activision par Microsoft. Cette décision, qui va permettre à l’une des plus grandes entreprises de l’informatique de mettre la main sur l’un des géants du jeu vidéo, symbolise une avancée majeure pour Microsoft dans sa stratégie de développement dans le domaine du gaming.
Le rachat d’Activision par Microsoft représente une transaction estimée à 68,7 milliards de dollars, ce qui en fait la deuxième plus grande acquisition de l’histoire. Cette opération va permettre à Microsoft de faire un bond dans le secteur du gaming en acquérant des joyaux tels que les licences Call of Duty, World of Warcraft ou encore Candy Crush.
Cette annonce a cependant été marquée par un événement inattendu, le veto de Londres. La capitale britannique a exprimé son désaccord quant au rachat par Microsoft d’Activision, considérant cette transaction comme allant à l’encontre des intérêts nationaux. Cette décision a été vécue comme une surprise pour les observateurs du secteur.
Si la décision de Londres a suscité quelques interrogations, elle ne devrait pas remettre en cause le feu vert donné par Bruxelles pour cette acquisition. En effet, l’Union européenne a étudié de près cette opération et a conclu qu’elle n’aurait pas d’impact négatif sur la concurrence ni sur les consommateurs.
Le rachat d’Activision par Microsoft est une opération majeure pour le secteur du jeu vidéo. Cette transaction va permettre aux deux entreprises d’unir leurs forces pour proposer des jeux encore plus innovants et de qualité supérieure à l’ensemble des joueurs. Cette décision devrait également ouvrir la porte à de nouvelles opportunités pour Microsoft, qui pourra ainsi étendre son influence sur le secteur du gaming.
En somme, le feu vert donné par Bruxelles pour le rachat d’Activision par Microsoft représente une avancée majeure pour le secteur du jeu vidéo. Même si le veto de Londres a créé la surprise, cette décision ne devrait pas remettre en cause l’acquisition de l’une des plus grandes entreprises du jeu vidéo par l’un des géants de l’informatique. Cette opération devrait ainsi permettre aux joueurs de bénéficier de nouvelles expériences de jeu encore plus innovantes et passionnantes.
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