——————————Article Journaliste—————————————————-
**Titre : Metamorphosis in Marseille: Les “narchomicides” replacing traditional vendettas**
**Introduction**
A Marseille, a city renowned for its vibrant culture and scenic coastline, a chilling transformation is taking place. The traditional “règlements de comptes” (settling of scores) that once plagued the city are being overshadowed by a disturbing new phenomenon – the rise of the “narchomicides.” This shift in criminal behavior has left the city shaken and authorities struggling to maintain law and order.
**The Birth of the “Narchomicides”**
The term “narchomicides” is a blend of the words “anarchy” and “homicides” – a sinister portmanteau that perfectly encapsulates the nature of these crimes. Unlike typical vendettas, which were often driven by territorial disputes or drug trade conflicts, these “narchomicides” have a more ideological motive behind them. They are acts of violence perpetrated by individuals or groups who reject the authority of the state and seek to establish a self-governing system devoid of law and order.
**The Impact on Marseille**
Marseille, already grappling with high crime rates and gang violence, is now faced with a growing wave of these “narchomicides.” The audacity of these criminals to openly challenge the authority of the state has left the city’s residents on edge. Public spaces, once bustling with life, are now filled with an atmosphere of fear and uncertainty. The reputation of Marseille as a tourist destination has also taken a hit, with travelers increasingly wary of venturing into the city.
**The Role of Digital Marketing and SEO in Addressing the Issue**
As an expert in digital marketing and SEO, it is crucial to acknowledge the role that effective online strategies can play in combatting this alarming trend. By leveraging the power of the internet, local authorities and concerned citizens can take proactive steps to raise awareness about the issue and foster a sense of unity within the community.
**Online Awareness Campaigns**
Digital marketing can be utilized to create compelling campaigns that shed light on the gravity of the “narchomicides” in Marseille. From social media platforms to targeted search engine optimization (SEO) techniques, information about this emerging threat can be disseminated effectively. Engaging content, such as infographics, videos, and blog posts, can help reach a wider audience and encourage them to become active participants in finding viable solutions.
**Collaboration with Law Enforcement**
Digital marketing strategies must not downplay the pivotal role that law enforcement agencies play in deterring and solving crimes. By teaming up with local authorities, marketers can leverage their expertise to enhance the visibility of law enforcement initiatives and encourage citizens to report any suspicious activities. This collaboration can prove instrumental in identifying and apprehending the perpetrators behind these “narchomicides.”
**Conclusion**
Marseille finds itself at a critical turning point in its history, as the emergence of “narchomicides” threatens to destabilize the city further. By utilizing the power of digital marketing and SEO, it is possible to counteract this threat and work towards a safer and more secure Marseille. Implementing online awareness campaigns and fostering collaboration with law enforcement are critical steps in battling this alarming trend. Only by joining forces and leveraging the potential of digital platforms can the citizens of Marseille reclaim their city from the clutches of fear and anarchy.
—————————–Résumé de l’Article————————————————
Les mots sont la matière première de la pensée. Et un nouveau mot permet logiquement de nouvellement penser une situation. C’est le cas à Marseille, où 42 personnes ont trouvé la mort et 109 autres ont été blessés dans une spirale de violence entre clans de narcotrafiquants. Ces chiffres effacent déjà le sinistre « record » de 2022 et ses 31 morts. Un niveau de violence jamais atteint à Marseille pourtant malheureusement coutumière des règlements de comptes depuis les années 1980.Et dans son dernier communiqué de presse, relatif à la mort d’un jeune homme de 23 ans abattu à la cité des Rosiers le 31 août dernier, que Dominique Laurens, la procureure de la République de Marseille, a donc dégainé le terme de « narchomicide ». Un terme plus approprié que celui de « règlement de comptes »[…]
Mot-valise formé par la contraction de narcotrafiquant et d’homicide, « narchomicide » vise à forger un terme plus approprié que celui de « règlement de comptes ». « Le règlement de comptes a une signification en termes policiers. On n’est pas véritablement dans la notion de règlement de comptes, mais vraiment sur des homicides liés au narcobanditisme. Les victimes sont vraiment simplement des gens qui sont sur des points de stupéfiants. Ils ne sont pas visés pour leur participation spécifique aux trafics, mais parce qu’ils sont là simplement », a expliqué mercredi matin Dominique Laurens sur France Info. Preuve en est, ce jeune tué aux Rosiers, et qui, selon les éléments de l’enquête communiqués par le parquet, était « originaire du centre de la France (…), condamné pour des faits de droit commun et inconnu sur le plan judiciaire à Marseille ». Venu « charbonner » dans le sud de la France, ce fut pour ce « jobber » apparemment sans envergure dans la hiérarchie des trafics de stupéfiants un aller sans retour. Un profil de victimes que les enquêteurs retrouvent de plus en plus souvent dans la cité phocéenne.
La dimension très politique du choix des motsRappelons qu’à la fin de l’année 2022, la police avait déjà cessé de parler de règlement de comptes en constatant des victimes de plus en plus jeunes mortes dans ce qui s’apparente davantage à des opérations d’intimidation que d’élimination ciblée. Des actions « à l’aveugle » qui conduisent à la mort d’adolescents. Comme Rayanne, 14 ans, abattu d’une rafale de kalachnikov à l’entrée de son quartier des Marronniers.[…] Et pour mesurer la différence ténue entre règlements de comptes et « narchomicides », ne faudrait-il donc pas attendre que les premiers procès pour les assassinats de ces dernières années se tiennent ? C’est ici qu’il serait alors possible de constater que le profil des tueurs a changé, devenus à la fois plus jeunes [à l’image de Mattéo, 18 ans, mis en examen au printemps pour deux assassinats] et « moins professionnels ». Exit les opérations menées minutieusement, avec balisage du véhicule des cibles, repérage et surveillance, comme cela a été dernièrement démontré lors du procès d’assises du règlement de comptes commis sur l’A55 en février 2017.
—————————–Article Complet————————————————
Les mots sont la matière première de la pensée. Et un nouveau mot permet logiquement de nouvellement penser une situation. C’est le cas à Marseille, où 42 personnes ont trouvé la mort et 109 autres ont été blessés dans une spirale de violence entre clans de narcotrafiquants. Ces chiffres effacent déjà le sinistre « record » de 2022 et ses 31 morts. Un niveau de violence jamais atteint à Marseille pourtant malheureusement coutumière des règlements de comptes depuis les années 1980.Et dans son dernier communiqué de presse, relatif à la mort d’un jeune homme de 23 ans abattu à la cité des Rosiers le 31 août dernier, que Dominique Laurens, la procureure de la République de Marseille, a donc dégainé le terme de « narchomicide ». Un terme plus approprié que celui de « règlement de comptes »Mot-valise formé par la contraction de narcotrafiquant et d’homicide, « narchomicide » vise à forger un terme plus approprié que celui de « règlement de comptes ». « Le règlement de comptes a une signification en termes policiers. On n’est pas véritablement dans la notion de règlement de comptes, mais vraiment sur des homicides liés au narcobanditisme. Les victimes sont vraiment simplement des gens qui sont sur des points de stupéfiants. Ils ne sont pas visés pour leur participation spécifique aux trafics, mais parce qu’ils sont là simplement », a expliqué mercredi matin Dominique Laurens sur France Info. Preuve en est, ce jeune tué aux Rosiers, et qui, selon les éléments de l’enquête communiqués par le parquet, était « originaire du centre de la France (…), condamné pour des faits de droit commun et inconnu sur le plan judiciaire à Marseille ». Venu « charbonner » dans le sud de la France, ce fut pour ce « jobber » apparemment sans envergure dans la hiérarchie des trafics de stupéfiants un aller sans retour. Un profil de victimes que les enquêteurs retrouvent de plus en plus souvent dans la cité phocéenne.
La dimension très politique du choix des motsRappelons qu’à la fin de l’année 2022, la police avait déjà cessé de parler de règlement de comptes en constatant des victimes de plus en plus jeunes mortes dans ce qui s’apparente davantage à des opérations d’intimidation que d’élimination ciblée. Des actions « à l’aveugle » qui conduisent à la mort d’adolescents. Comme Rayanne, 14 ans, abattu d’une rafale de kalachnikov à l’entrée de son quartier des Marronniers.Le chercheur David Weinberger, spécialiste des marchés de la drogue, bat froid l’engouement généré par ce nouveau mot plutôt marquant. Le terminologies ne sont intéressantes que si elles sont issues « du code pénale ou bien recouvre un concept-opératoire. Elles peuvent être intéressantes à déconstruire aussi… » Et d’aborder la dimension très politique du choix des mots. Dans les années1990, « le terme de ”narcoterrorisme” a été crée par le présiedent du Pérou qui voulait obtenir une aide américaine parce que les narcotrafiquants, y compris pour des raisons soicaux-économiques s’en prenaient aux forces de l’ordre », rappelle ainsi notre expert. « Dans le cas de Marseille, il faudrait étudier en profondeur les relations victimes-auteurs », ajoute David Weinberger qui assure toutefois faire « confiance aux magistrats qui ont accès aux procédures et à leur sens pratique ». En 2016, Anne Kletzlen, chercheuse en droit et sociologie à l’université Paul Cézanne (Aix-Marseille III), avait justement mis l’accent sur ces relations victimes-auteurs. « On peut montrer les fonctions des homicides entre malfaiteurs et souligner que, comme les homicides en général, les règlements de comptes constituent des crimes de proximité historiquement et socialement situé », avait avancé l’autrice de Bandits contre Bandits sur les règlements de comptes à Marseille au cours des années 2000. Et pour mesurer la différence ténue entre règlements de comptes et « narchomicides », ne faudrait-il donc pas attendre que les premiers procès pour les assassinats de ces dernières années se tiennent ? C’est ici qu’il serait alors possible de constater que le profil des tueurs a changé, devenus à la fois plus jeunes [à l’image de Mattéo, 18 ans, mis en examen au printemps pour deux assassinats] et « moins professionnels ». Exit les opérations menées minutieusement, avec balisage du véhicule des cibles, repérage et surveillance, comme cela a été dernièrement démontré lors du procès d’assises du règlement de comptes commis sur l’A55 en février 2017.
——————————Article à Propos—————————————————-
À Marseille, les « narchomicides » ont remplacé les règlements de comptes
La ville de Marseille, située dans le sud de la France, est malheureusement connue pour sa violence et ses règlements de comptes. Cependant, une nouvelle forme de criminalité semble émerger ces dernières années : les « narchomicides ».
Les règlements de comptes, qui ont longtemps été le fléau de Marseille, sont généralement liés au trafic de drogue. Les gangs rivaux règlent leurs différends par la violence, souvent accompagnée d’armes à feu. Ces affrontements se traduisent par une spirale de violence et de meurtres qui frappent la ville et ses habitants.
Cependant, depuis quelques années, un nouveau phénomène semble prendre de l’ampleur. Les « narchomicides », contraction des mots « anarchie » et « homicides », font référence à des meurtres commis sans motif apparent et sans lien avec le trafic de drogue. Les victimes sont souvent des jeunes hommes, parfois mineurs, qui se retrouvent pris dans cette spirale de violence urbaine.
Les experts affirment que ces crimes sont liés à un sentiment d’impunité qui règne dans certains quartiers de la ville. La marginalisation sociale, le chômage élevé et l’absence de perspectives d’avenir poussent certains jeunes à se tourner vers la violence comme moyen d’expression. L’absence de régulation de ces conflits et l’inefficacité des forces de l’ordre à les résoudre contribuent à l’aggravation de la situation.
La question de la sécurité à Marseille est un enjeu majeur pour les autorités et les habitants de la ville. Les gouvernements successifs ont tenté de mettre en place des mesures pour réduire la criminalité, mais les résultats sont mitigés. Les habitants de Marseille vivent dans la crainte constante d’être pris dans une fusillade ou d’être touchés par une balle perdue.
Pour combattre ces « narchomicides », il est essentiel de s’attaquer aux causes profondes de la violence. Cela passe par une politique de prévention envers les jeunes, en leur offrant des alternatives à la violence et en favorisant l’accès à l’éducation et à l’emploi. Il est également crucial d’améliorer les conditions de vie dans les quartiers les plus défavorisés, en investissant dans les infrastructures et en luttant contre les discriminations.
En parallèle, il est nécessaire de renforcer la présence policière dans ces zones sensibles et d’améliorer la coopération entre les différents services de sécurité. La lutte contre les réseaux criminels doit également être intensifiée, en mettant en place des stratégies de démantèlement et de déstabilisation de ces organisations.
Les « narchomicides » constituent un défi de taille pour les autorités marseillaises. Cependant, avec une approche globale et coordonnée, il est possible de réduire la violence et de restaurer la sécurité dans la ville. Il est essentiel que toutes les parties prenantes, y compris les habitants, les forces de l’ordre et les responsables politiques, travaillent ensemble pour mettre un terme à cette situation et protéger les futures générations des conséquences dévastatrices de la violence urbaine.
——————————Article en rapport avec le sujet —————————————————-
A Marseille, les « narchomicides » ont remplacé les règlements de comptes
La situation à Marseille est devenue alarmante ces dernières années, avec une recrudescence des règlements de comptes entre les gangs de quartier. Toutefois, une nouvelle tendance inquiétante a pris le dessus récemment : les « narchomicides ». Ce néologisme est utilisé pour décrire les homicides commis par des individus se revendiquant de l’anarchie, se considérant au-dessus des lois et de l’ordre établi.
Une situation alarmante
Marseille a gagné une réputation peu enviable en matière de violence urbaine, avec des règlements de comptes de plus en plus fréquents. Les gangs de quartier, souvent impliqués dans le trafic de drogue et le crime organisé, s’affrontent régulièrement pour le contrôle des territoires et des marchés illicites. Mais depuis peu, une nouvelle tendance émerge : les « narchomicides », qui ont remplacé les règlements de comptes traditionnels.
Qu’est-ce que les « narchomicides » ?
Les « narchomicides » sont des actes de violence commis par des individus se réclamant de l’anarchie. Ils rejettent toute forme d’autorité et se traitent comme des justiciers autoproclamés. Ces personnes se sentent au-dessus des lois et n’hésitent pas à commettre des crimes pour faire valoir leur vision du monde. Il est important de souligner que ces individus sont souvent des marginaux et que leurs actions ne représentent en aucun cas l’anarchisme en tant que mouvement politique.
Une dérive inquiétante
La montée des « narchomicides » est une dérive inquiétante de la violence urbaine à Marseille. Alors que les autorités s’efforcent de lutter contre les règlements de comptes, cette nouvelle forme d’actes criminels représente un défi supplémentaire. En effet, il est plus difficile de prévoir et de contrôler les actions de personnes qui ne respectent aucune règle et sont prêtes à tout pour faire valoir leur vision du monde.
Les conséquences pour la population marseillaise
Les « narchomicides » ont un impact direct sur la population marseillaise. Les habitants vivent dans la crainte constante de la violence et de l’insécurité. Les quartiers les plus touchés sont souvent abandonnés par les services publics et les commerces, créant ainsi des zones de non-droit où règne la loi du plus fort. Cette situation a des répercussions sur la qualité de vie des habitants, qui se sentent abandonnés par les autorités.
Que faire face à cette situation ?
Il est essentiel que les autorités prennent cette nouvelle forme de violence au sérieux et y répondent de manière adéquate. Une augmentation des effectifs policiers et une coopération renforcée entre les différentes forces de l’ordre sont nécessaires pour lutter contre les « narchomicides ». De plus, il est important de mettre en place des actions de prévention et de réinsertion sociale pour tenter de désamorcer cette spirale de violence.
En conclusion, les « narchomicides » représentent une nouvelle forme de violence urbaine qui sévit à Marseille. Ces actes criminels commis par des individus se revendiquant de l’anarchie sont une dérive inquiétante de la violence déjà présente dans la ville. Il est essentiel que les autorités prennent cette situation au sérieux et mettent en place les mesures nécessaires pour protéger la population et rétablir l’ordre public.
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